Éditions


À la Maison basse dans le creux,
Francis Bugarin
Amours standard, Elodie Alice Rousseau

Écrire, Chantal Maillard
Mettre en oubli, Francis Bugarin
La vraie vie d’Arthur Rimbaud, Charles Olson
Voici mon cœur, c’est un bon cœur, poésies de femmes amérindiennes

 

Tous ces livres sont également disponibles à la Librairie olympique -23, rue Rode 33000 – Bordeaux – libolympique@aliceadsl.fr – 00 33 5 56 01 03 90

 

 

 

 

Écrire

Chantal Maillard
(bilingue : espagnol-français)
Traduit de l’espagnol par Stéphane Chaumet

Chantal Maillard est poète et philosophe. Née en Belgique elle a chosi la nationalité espagnole et écrit en castillan. Elle a reçu en 2004 le Premio Nacional de Poesía (Prix national de Poésie) pour Matar a Platón (Tuer Platon) et en 2007 le Premio de la Crítica (Prix national de la Critique) pour Hilos.
Avec Écrire, une réflexion sur la vie et la mort, une sorte de litanie lyrique, elle nous livre une poésie des plus intenses et émouvantes

Ed. Librairie Olympique – Broché – 14X22 cm – 48 Pages
Prix : 12€ + participation aux frais d’envoi : 1€25

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Voici mon cœur, c’est un bon cœur

Poésie de femmes amérindiennes

Elles sont Anishnabe, Creek, Mohawk, Cherokee, Sioux, Oneida, Apache, Chickasaw, Ojibway, Mohegan… toutes femmes amérindiennes. Leurs poésies, parfois épiques, parfois d’une grande sensibilité, nous font pénétrer dans leur culture, nous évoquent leurs légendes et les croyances de leurs peuples ; elles nous révèlent aussi la difficulté d’être une femme amérindienne aujourd’hui…

Cet ouvrage réunit vingt poèmes de femmes amérindiennes traduits par Béatrice Machet et Manuel Van Thienen et choisit par Anne Alvaro pour en faire un spectacle mêlant parole, danse et musique, créé à Bordeaux à l’occasion du 17e Marché de la Poésie de Bordeaux.

Ed. Librairie Olympique – Broché – 14X22 cm – 54 Pages
Prix : 10€ + participation aux frais d’envoi : 1€25
En réimpression

 

 

La vraie vie d’Arthur Rimbaud

Charles Olson,

traduit de l’Américain par Auxeméry
Bilingue

«…Chaque jour quand il s’éveillait Rimbaud trouvait ses membres si courbatus qu’il était incapable de faire un mouvement tant qu’il ne les avait pas délivrés de l’immobilité de la nuit. Son bras droit était maintenant complètement hors d’usage et la paralysie commençait à gagner son bras gauche; un léger tic nerveux était perceptible sur sa jambe gauche, et son œil gauche n’arrivait pas à s’ouvrir plus qu’à moitié. En aucune position son corps endolori ne pouvait trouver ni aise ni repos… »

Né dans le Massachusetts (Etats-Unis) le 27 décembre 1910, décédé le 10 janvier 1970, Charles Olson est un poète américain appartenant à la seconde génération des poètes de la modernité.

Broché – 14X22 cm – 46 pages
Ed. Librairie olympique
Prix : 12€ + participation aux frais d’envoi : 1€25

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Amours standard

Élodie Alice Rousseau
Recueil de poèmes libres, associations, allitérations, chansons inspirés par les standards du jazz.
Les textes anglais sont présentés en vis-à-vis des textes français qu’ils ont inspirés.

Broché, couverture quadri – 15×21 – 70 pages
Ed. Librairie olympique
Prix : 10€ + participation aux frais d’envoi : 1€25

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Mettre en oubli

Francis Bugarin
Comment peut-on enseigner la peinture et la couleur dans des Ecoles des Beaux-Arts pendant près de quarante ans quand on est daltonien ?
« Parce que, paradoxalement, il suffisait de nommer les couleurs pour les voir, » répond Francis Bugarin qui poursuit : « Ce faisant, elles advenaient à la présence à partir de leur absence. Elles se révélaient par leur nom, par la parole qui leur disait d’être ; je pratiquais cette démarche dans le secret, je ne me l’avouais que discrètement. »
Cette étrangeté, cet incompréhensible phénomène, pousse Francis Bugarin à s’interroger sur l’absence, la présence dans la parole, le verbe, la perception, leurs relations et celles qui s’établissent avec les images et l’idée de réalité dans le monde contemporain.
Francis Bugarin vous livre le fruit de ses réflexions dans un texte entrelacé, didactique, discursif, mêlant théologie, philosophie, analyse artistique et expérience personnelle. Avec ce maillage, il élabore, sous forme de conjecture, et présente au lecteur des propositions et une prospective tournées vers l’espérance et l’inattendu.

Broché,  13,5×22 – 356 pages
Ed. Librairie olympique
Prix : 22€ + participation aux frais d’envoi : 1€25

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À la maison basse dans le creux

Francis Bugarin

Jamais nommé, le personnage du livre assiste malgré lui au décès volontaire de sa mère qui avait indirectement exigé sa présence. Dans ses derniers instants, celle-ci employait le “on” qu’il percevait comme fusionnel. Prenant appui sur cette confusion, cette communion qui aurait pu être un gouffre, le texte est écrit à la troisième personne. Entre passé et présent, dans un style sensible, souvent poétique, des histoires, des confessions, des expériences fragiles se trament, s’articulent pour chercher, dans un cheminement parfois étrange, le sourire perdu de la mère. A la place de ce sourire tant désiré, c’est au rire perfide de la mélancolie qu’il est confronté.

Broché,  13,5×22 – 356 pages
Ed. Librairie olympique
Prix : 22€ + participation aux frais d’envoi : 1€25

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